Nous sommes responsables de nos actions et omissions devant Dieu.
Chaque jour, nous faisons des choix, des choix que nous pensons peut-être
sans importance, mais c'est faux.
Car ce que nous faisons dans nos « petites » actions révèle très précisément
ce que nous faisons dans des situations « plus grandes ».
Que faisons-nous si les autorités civiles exigent de nous quelque chose qui va
à l'encontre de notre éducation morale ; celle que nous avons reçu de l'Église?
La confusion peut être provoquée par la nécessité de respecter à la fois le droit
civil et la Loi de Dieu, mais lorsque ces deux sont contradictoires et ne peuvent
pas être réconciliés, nous sommes obligés de prendre position.
A qui obéissons-nous ?
La Bible est claire ; La Loi de Dieu est suprême, et dans cette situation,
nous, chrétiens, devrons être soucieux de ne pas offenser Dieu, même si
nos choix ne plaisent pas au gouvernement en place.
Les gouvernements changent, les lois civiles changent,
par contre Dieu est toujours le même.
Nous n'avons pas créé cette situation, mais nous y sommes pris.
C'est triste et tordu de voir l'avortement classifié comme un soin de santé,
les bébés vivants considérés comme des objets morts, quand on sait
scientifiquement qu'ils sont vivants et sentent, entendent et perçoivent dans
l'utérus.
Cet étouffement du bon sens et de la décence commune dans les
sociétés a été un précurseur de ce qui se passe depuis 2 ans dans les pays
occidentaux ;
"Covid"; un virus du rhume et de la grippe qui a été utilisé comme prétext pour
forcer les gens à se faire une injection avec des ingédients et effets secondaire
long term inconnue.
Les effets immédiat on les connait; parmi d'autres; la myocardite et la péricardite,
la thrombose, la cécité, et la mort subite.
Hormis les risques physiques considérables; si cela n'était pas suffisant,
nous avons aussi la connaissance que les injectons sont créées avec l'usage
de bébés avortes.
Nous savons qu'il s'agit de thérapie génique, qu'elle modifie l'ADN
d'une personne.
c'est aller à l'encontre de Dieu de s'y soumettre.
Ajourd'hui l'Eglise se concerne de la politique, l'immigration de masse,
le travail sociale, la mondialisation, l'union avec l'islam, le paganisme
et les questions environnementales, par consequence la doctrine Catholic
n'est pas trés connue.
L'autorité qui aurait normalement guidé les évêques, afin qu'ils nous
guident à leur tour, n'est pas là.
Cela leur incombe individuellement, ça peut être effrayant; ont-ils une force
morale individuelle ou font-ils ce qui est le plus facile en simplement
« suivant le courant ? » "
Je pense que nous connaissons la réponse.
Mais ce n'est pas ainsi que l'Église sera forte.
Essayer de "se sauver soi-même" va à l'encontre du principe le plus
fondamental d'être chrétien.
De plaire au monde, non, ça ne marchera pas.
Cette "crise de covid",avec le confinement et toutes les réstrictions et puis
la vaccination obligatoire, était la situation la plus potentiellement puissante
que l'Église ait manquée;
se dresser comme la force spirituelle divine qu'elle est, mandatée par Dieu,
face aux forces du monde maléfique.
L'Église Catholique a raté la plus grande occasion d'un véritable retour en force.